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Respiration: Nous avions décrit dans un article précédent l’influence d’une respiration thoracique sur les douleurs de cou. En rapide, une respiration thoracique (favorisée par le stress, l’assise au bureau… voir article) va avoir recours à l’utilisation de muscles accessoires de la respiration (scalènes/SCM) qui s’insèrent sur les cervicales. Leurs contractions répétées (+ de 15000 fois par jours) vont augmenter les contraintes sur les cervicales et favoriser ou maintenir des tensions/douleurs cervicales. Une respiration plus abdominale est essentielle ! à tord nous parlons souvent de relâcher le diaphragme au niveau thérapeutique mais si il n’y a pas de respiration abdominale c’est que le (ou l’hémi) diaphragme ne peut pas se contracter et que ce sont en fait les muscles expiratoires qui limitent l’expansion de la partie inférieur du poumon qui sont contractés incitant ainsi l’inspiration thoracique.
Stress: Le stress a différents effets sur le corps humain. Au niveau musculo-squelettique il va augmenter le tonus musculaire inhérents des muscles notamment au niveau cervical (notamment par effet idéomoteur). Le stress prédispose à une respiration thoracique (voir ci-dessus) et augmente les sécrétions gastriques (=> ulcères de l’estomac et duodénum). Voir plus bas sur « problèmes viscéraux.
Cicatrice de césarienne et autres cicatrices importantes:
Ce type de cicatrice peut sur du long terme maintenir et même être à la source de troubles du cou notamment en affectant la posture général du patient qui cherche à protéger le bas du ventre en se pliant au niveau du bassin. En découle un excès d’extension cervicale et une respiration thoracique excessive… (voir article sur césarienne). De nombreux ouvrages ostéopathiques émettent un lien utérus-C2 pourquoi ???
Problèmes viscéraux: Un patient souffrant d’une gastrite aiguë/chronique ou d’un ulcère gastrique cherchera à protéger cet organe en le sollicitant un minimum mécaniquement. Toute la partie inférieure de l’hémi-thorax gauche évitera de s’expandre. Les muscles expirateurs de la partie inférieure du thorax gauche sont contractés et l’hémi-diaphragme gauche ne contractera que peu. La respiration sera donc plutôt thoracique du côté gauche induisant des tensions sur les scalènes… Le corps cherchera une position antalgique en se recroquevillant autour de l’estomac. Le même principe peut rentrer en jeu avec une fixation du foie, duodénum notamment. De manière plus indirecte le problème peut venir d’une restriction mécanique du colon, rein, utérus, vessie, rate, médiastin…
L’explication nerveuse viscérale: Les viscères réfèreraient aussi par leur innervation notamment sympathique. Si l’estomac est irrité alors le retour nerveux sympathiques sera saturé neurologiquement créant ainsi un segment de facilité au niveau vertébral de T5à T10 (étage de l’innervation sympathique de l’estomac). La capsule de glisson qui entoure le foie est innervé par le nerf phrénique qui provient des cervicales (C3-C5), si cette capsule est irrité, cela pourrait participer à des cervicalgies.
A propos de l’estomac et du duodénum ce sont des organes très sensibles au stress. Café, alcool, anti-inflammatoires augmentent les chances de développer une gastrite/ulcère. Donc si l’estomac est l’une des causes du mal de cou du patient, l’utilisation d’anti-inflammatoires et de certaines boissons ou nourritures ne ferait que maintenir voire même exacerber le problème !
poitrine et soutien gorges: la poitrine voluptueuse est souvent source d’inconfort. Imaginez 2kg ou plus pesant sur votre thorax avec un bras de levier assez important. Le tout maintenu par un élastique compressant la cage thoracique inférieure. Donc d’une part le poids de la poitrine force le patient à contracter de manière excessive les érecteurs des hautes thoraciques et du cou, d’autre part les bretelles pèsent sur les épaules obligeant une contraction trapèzes, et en plus le soutien-gorge rend plus difficile la respiration abdominale favorisant ainsi la respiration thoracique que l’on sait prédisposer à des troubles des cervicales (voir ici une video en anglais pour avoir un soutien-gorge bien ajusté). Nous pourrions aussi parler des prothèses et de leur implantation sous pectorale qui limite très fortement la mobilité des côtes supérieures, où encore des opérations suites à un cancer qui vont créer des adhérences cicatricielles et affecter la mobilité de l’épaule et donc du cou… Aussi à la puberté la poitrine peut-être ressentie comme une protubérance honteuse favorisant l’introversion. L’effet idéomoteur de l’introversion est le repli sur soi-même qui induit une plus forte cyphose thoracique et par conséquent une compression facettaire au niveau des cervicales.
L’effet idéomoteur: L’effet idéomoteur pourrait bien avoir un rôle important dans les tensions et douleurs cervicales.
L’effet idéomoteur du stress va favoriser une respiration thoracique. L’effet idéomoteur de l’introversion va comme nous l’avons vu ci-dessus provoquer un repli sur soi-même et par conséquent augmenter l’extension cervicale. L’effet idéomoteur du jugement est cette flexion des hautes cervicales (le professeur vous regardant par dessus ses lunettes). Ce trait de caractère excessif et chronique pourrait bien donner une dysfonction somatique chronique en flexion des hautes cervicales.
Le travail: le travail est souvent un facteur qui participe directement ou indirectement au mal de cou. Une mauvaise posture au bureau va favoriser les tensions au niveau des trapèzes, scalènes, …, et exagération de la courbure cervicale (Flexion, extension, rotation flexion latérale) et peut aussi influencer sur le stress et encourager une respiration thoracique. Mais d’autres travails peuvent aussi apporter leurs lots de tensions cervicales, un plombier, un maçon ou un peintre vont souvent avoir leur cou en hyper-extension compressant ainsi les facettes articulaires. De même que la standardiste qui n’a pas de kit main libre bloque de manière répétée son téléphone entre son oreille et son épaule infligeant une forte flexion latérale à ses cervicales.
hobbie et sports: Vous l’imaginez certains sports ou hobbies vont prédisposer, causer ou maintenir des problèmes de cou. Leur posture est a envisagé comme élément important dans leur trouble. Du DJ qui plaque son écouteur contre son épaule en passant par le batteur qui se crée des mini whiplashs en rythmant frénétiquement sa musique, au surfeur allongé sur sa planche le cou en extension, au plongeur qui se trouve dans la même position, au base-jumper se prenant des whiplashs à chaque ouverture fortuite de son parachute et une onde de choc verticale à l’atterrissage…
Ipad Iphone et autres tablettes électroniques: (Voir article Aïphone ou iphone) L’utilisation excessive de ces tablettes électroniques (au même titre que la lecture intensive )oblige une flexion excessive de la jonction cervico-thoracique. La fonction influant sur la structure, au repos cette jonction tendra vers une plus grande flexion et lorsque le patient tiendra sa tête droite cela impliquera une exacerbation de la lordose cervicale augmentant la compression des facettes cervicales.
Dormir: Dans quelle position dormez-vous ? combien d’oreillers utilisez-vous ? Dormir sur le ventre souvent impose une rotation extrême au niveau cervical. Ça passe lorsque vous avez 10 ans mais à 40 bonjour les problèmes. Il n’est pas rare d’entendre des patients qui disent dormir sur le ventre avec un coussin sous la tête ! rotation plus extension = Jackpot !!! Dormir de manière excessive sur une épaule peur compresser votre sterno-claviculaire (voir plus haut) et si le coussin n’est pas de la bonne épaisseur alors vos cervicales subiront une flexion latérale prolongée. En étant sur le dos prévoyez un coussin de la bonne épaisseur. Si votre dos est un peu cyphosé vous devrez opté pour un coussin plus épais que si votre dos manque de cyphose. Bien évidemment dormir dans son canapé, dans l’avion, ou dans le train est souvent synonyme de douleur cervicale le lendemain…
Problèmes vertébraux: Bien sûr des restrictions thoraciques ou lombaires et même sacro-coccygienne peuvent influer sur le cou. N’oublions tout de même pas que ces tensions peuvent être de nature viscéro-somatique ou psycho-somatique…
Problèmes posturaux: Une attitude scoliotique, cyphosique peuvent influer sur la mécanique cervicale. Ainsi une jambe courte, un ilium haut, une hémi-vertèbre peuvent influer sur les cervicales.
D’autres tensions: Certains collègues rapportent des problèmes de chevilles ou de membres inférieurs liés avec des problèmes de cou. Pourquoi pas, est-ce qu’un défaut proprioceptif périphérique demande une correction excessive aux muscles sous-occipitaux ?
Once upon the time/ il était une fois
Vieux traumas: N’oublions pas les traumas passés !!! Un vieux whiplash à la suite d’un accident de voiture traumatique il y a 10, 20 ou 30 ans peut avoir une forte influence sur les tensions cervicales ressenties aujourd’hui.
De même une naissance traumatique ou enfiler de manière répétée des T-shirts au col trop petits voir article sur comment porter bébé) pourrait laisser des restriction cervicales chroniques et pourquoi pas une certaines appréhension de la vie en général.
Est-ce qu’un enfant qui pleure beaucoup les premières années de naissances est plus susceptible de développer des problèmes de cou étant plus âgé ? Si il pleure beaucoup , il y a de forte chance qu’il hyper-ventile avec une respiration thoracique favorisant les tension sur les cervicales. De même cette panique chronique pourrait avoir un effet sur sa psychologie étant adulte le rendant de nature plus stressé… (stress=>estomac/respiration => tension cervicale)
Il est de ma croyance que les traumas nous atteignant avant la puberté sont très bien compensé mais ont une influence mécanique d’autant plus importante sur notre corps car ils ont un effet sur notre développement corporel. Un exemple pourrait être celui d’une fracture du fémur pendant la croissance. L’enfant s’en remettra rapidement mais il est fort probable qu’il s’en suive une différence de longueur de jambe qui affectera globalement ce patient toute sa vie.
Un exemple caricatural
Par exemple le patient souffre du cou. Pourquoi ?
- car il a une irritation facettaire (dysfonction somatique) aigüe de C5-C6 avec une hypertonicité des muscles scalènes, trapèze et élévateur de la scapula. Pourquoi ?
- On observe une respiration thoracique plus importante à droite avec une élévation des premières côtes et une fixation de la sterno-claviculaire. Pourquoi ?
- le patient rapporte dormir sur le côté droit ( problème de compression de S/C et compromet la mécanique de l’épaule), et de travailler sur ordinateur (mauvaise posture très certaine => tension épaule cou + respiration thoracique =>hypertonicité des scalènes, muscles accessoires de la respiration, possible syndrome de la souris). De plus dernièrement des difficultés de digestions en fin de repas. Pourquoi ?
- stress au boulot + café => possible gastrite/duodenite
Pourquoi, pourquoi, pourquoi ???
Conclusion
Comme vous pouvez l’apercevoir un cou douloureux n’est pas synonyme de cou à manipuler. Les causes potentielles sont nombreuses et parfois il est difficile de savoir ce qui est influant de ce qui ne l’est pas.
Si votre seul outil est un marteau vous ne verrez que des clous. Il est souvent difficile d’ouvrir son approche car cela implique souvent reconnaître que l’on avait tord (même si cela n’est que par omission).
Avoir une vision ostéopathique est différent que d’utiliser des techniques ostéopathiques de manière symptomatique. Malheureusement lorsqu’un professionnel de santé étudie l’ostéopathie avec un DU de seulement 300hrs sur 2 ans il ne verra à une cervicale douloureuse qu’une solution: la manipulation cervicale (qui au final n’est pas particulièrement efficace voir ici).
Il faut rappeler que la manipulation cervicale est l’acte le plus dangereux en ostéopathie ou en thérapie manuelle (voir ici). Éviter un maximum de les manipuler est alors impératif. Travailler de manière ostéopathique sur l’ensemble des chaînes pouvant provoquer ou maintenir un mal de cou permet d’éviter grandement l’utilisation de ces manipulations diminuant alors nécessairement la sinistralité.
[…] ascendantes (diaphragme, estomac, foie, médiastin, cage thoracique… voir article sur mal de cou) le cou se libère de ses tensions et généralement les quelques tensions résiduelles cervicales […]
[…] d’autre cause et solution à une cervicalgie qu’une manipulation cervicale (voir ici). Une telle règlementation des manipulations cervicales a eu pour effet de faire peur aux patients […]
[…] Mal de cou, cervicalgie: approche par l’ostéopathie […]
[…] de manière répétitive. Ils élèvent les premières côtes certes, mais ils tirent aussi sur ces cervicales (!) et les compressent limitant ainsi leur mobilité et irritant leurs facettes articulaires. Leurs […]
[…] généralement après un choc, ou un trauma violent. Typiquement une entorse, une fracture ou une entorse cervicale dûe à un […]
[…] lombaires, prédisposera à une usure des facettes articulaires cervicales et lombaires et à des cervicalgies et […]
[…] suggérer que le rôle mécanique est très important, mais d’autres articulations comme les cervicales peuvent aussi être atteintes. Certaines atteintes articulaires passées (traumatiques, […]
Bonjour,
Merci pour cet article fort intéressant et exhaustif. Je souffre, à titre personnel, de cervicalgie depuis plusieurs années. Je voulais savoir si dans le cas d’une forte contracture au niveau des cervicales (C2-C3 visiblement, cela pouvait provoquer certains troubles cognitifs (comme difficulté à se concentrer, mémoriser…, par compression d’une artère par exemple. Les médecins/ostéopathes à qui j’ai posé la question semblaient sceptiques à ce sujet. Je serai curieux de connaître votre avis
Merci Jean-Pierre pour votre témoignage,
Il est toujours difficile de différencier « cause-à-effet » et « corrélation » aussi les réponses que je vais tenter de vous donner sont à prendre délicatement, d’autant plus que je ne vous ai pas examiné:
1. Oui une douleur peut rendre difficile la concentration. Car cette douleur va avoir un effet parasite sur nos différents processus cérébraux. Ainsi peut-être que 30% de votre concentration sera obnubilée par ressentir, être préoccupé, toucher, masser,questionner le pourquoi de cette cervicalgie. C’est 30% de capacité cognitive en moins vers votre concentration.
2. Compression de l’artère, pourquoi pas mais je serais très précautionneux quant à l’affirmer. J’ai déjà eu des patients me relatant mieux voir après des traitement « crânien » dont le but est de détendre les hautes cervicales => meilleur vascularisation ? Sans vouloir vous inquiéter on pourrait aussi prendre le problème dans l’autre sens est-ce qu’une atteinte des artères vertébrales pourraient être symptômatiques et du coup donner une moins bonne vascularisation et des douleurs au niveau des hautes cervicales ?
3. Qu’en est-il du point de vue idéomoteur? Pourrait-il y avoir conflit entre ce que vous voudriez faire et ce que vous faites ? de ce point de vue la douleur et le manque de concentration ne seraient que révélateur du fait que vous vous forcez à faire quelque chose qui ne vous satisfait pas … bref à méditer.
Mais je pencherais plutôt vers le 1. J’ai récemment entendu parler d’une étude dans laquelle on demandait aux patients de faire un puzzle. Dans un groupe on les laissait faire et dans l’autre on leur mettait des bonbons à porter de vue et on leur interdisait de les manger. Ce groupe mettait plus de temps pour faire le puzzle et l’interprétation était notamment qu’une partie du processus cognitif s’attardait à réfléchir sur le conflit : « bonbon-miam-j’enmangeraisbien-maisj’aipasledroit ».
Loin d’être improbable qu’une douleur puisse entraver votre concentration,
Cordialement,
bonjour sa fait des annees que j ai mal aux ce qui diminue ma qualite de vie pcq engendre des migraine je suis alle pendant au moins six au chiro pour en etre au meme resultat pourtant j avais beaucoup espoir avec la chiropratie es ce que un osteopate serait plus appropriee dans mon cas bref mon md de famille m a fait passer une radiographie qui a confirme un conflit facettere cervicale se qui causait mes maux de coup bref je ne sais plus a quelle medecine non traditionnel faire confiance je vous remercie en esperant une reponse
Excellent article ! Je me reconnais, beaucoup des causes énoncées sont à l’origine de ma souffrance. J’ai subit il y a un peu plus d’un an une intervention au Laser pour détruire mes volumineuses hernies cervicales, j’ai eu une grande amélioration… mais des crises douloureuses sporadiques me rappellent que je ne serais jamais comme ceux qui sont en bonne santé…
Courage à tous.
Bonjour, mon filles souffre de troubles psychomoteur il a 9 ans récemment il a pu me dire qu il avait mal au cou l ostéopathie l à débloqué mais il a toujours des difficultés pour faire une rotation du cou à gauche il a le cou trop rentre dans les épaule et commence à àvoir la bosse du taureau il ne sait plus se tenir droit ,on m à même conseiller de lui mettre une minerve pour lui faire prendre l habitude de redresser son cou je ne sais plus quoi faire?
Bonjour Philippe,
Je vous remercie de votre message, et regrette ma réponse tardive.
Le cas de votre fils semble être suffisamment compliqué pour que je ne puisse me prononcer sans avoir pu le voir.
Aussi je vous recommanderai de consulter différents ostéopathes et professionnels de santé pour avoir un maximum de points de vue différents.
La règle général est que si il y a amélioration elle devrait être visible après 2 à 3 traitements.
Cordialement et bon courage,
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[…] 60. Mal de cou et cervicalgie approche par l’ostéopathie […]
[…] dû à un effet idéomoteur ? à un vieux « whiplash injury » ? Puisse cette douleur de cervicale avoir d’autre origine que celle d’une mal-occlusion ? Il en est de ma croyance que […]
[…] -cervicalgie (douleur de cou) […]
[…] Mais voyez-vous, depuis que vous nous avez retiré « la manipulation cervicale » supposée être l’acte le plus dangereux en ostéopathie, nous avons largement abandonné cette approche thérapeutique. Oui étrangement en ostéopathie exclusive, manipuler une cervicale est plus le signe d’une incompétence que d’une compétence (voir ici). […]
[…] car dans de nombreux cas nous n’avons pas besoin d’y avoir recours (voir article cervicalgie et ostéopathie). Mais parfois c’est la technique de choix pour soulager un patient. Faut-il dans ce cas là […]
Bonjour,
DEpuis quelques années j’ai une douleur qui commence au bas du cou niveau bas du crane jusqu’au crane milieu droit. Une douleur qui arrive brusquement à certains moments puis disparait (souvent débute au réveil) je dois prendre beaucoup d’antalgique pour supporter ce mal. je dois dire que j’ai fait beaucoup de yoga dans la vie et plus particulièrement les positions dites renversées. Est-ce possible qu’il y ai une incidence avec ce mal. j’ai 62ans
MR GARCI
[…] Les racines nerveuses sont appelées par le nom des vertèbres qui sont au-dessus sauf au niveau cervical où elles sont dénomées par le nom de la vertèbre du dessus +1. Série d’exemples : Entre […]