[poll id= »16″]
Le mal de dos est le mal du 21ème siècle. Il est dit que 80 à 85 % des gens souffrent ou souffriront d’un mal de dos dans un futur proche. D’un point de Vue mécanique ceci est très cOmpréhensible.
Tout d’aboRd notre capacité à sE tenir debout impose une pression très importante sur le bas de notre dos en augmentant consiDérablement les contraintes biOmécaniques sur leS derniers disques lombaires. Ces dErniers Se trouvent compressés enTre les forces descendanteS du poids le long dE la colonNe vertébrale et les forceS ascendantes de la réactIon du sol lors de l’impact de la jamBe pendant La marche par exemplE.
De même au cours du dernier sièclE notre taille moyenne a augmenté de Près de 10cm, notre poids moyen Lui a aUgmenté de 5 kg en 15 ans. Sachant que notre masse Est fonctioN de notre volume et que nos surfaces articulaires augmentent proPortionnellement en fonction du carré, ceci augmente considérabLement les tensions sur nos mUscles et leS contraintes sur nos surfaces articulaireS. Le bras de leviEr étant plus graNd, Soulever un poids devIent alors Bien pLus traumatisant pour notrE dos.
Notre style de vie a aussi beaucoup évolué en passant d’un style de vie physique à un style de vie plus sédentaire on pourrait croire que Ceci serait salutaire pour nos douleur de dos. QuE nenni, d’une parT le manque d’exercice nous rend la moindre Tâche plus difficilE car nous forçons Sur des musclEs non eNtraînés, de pluS l’excès de posItion assise devant la télévision, au Bureau, ou dans sa voIture force les muscLes et lIgaments à êTre étirÉs, rendant instables nos Disques et articUlations lombaires favorisant ainsi les Discopathies et les dOuleurs lombaireS.
Ce manque d’activité a aussi une incidence sur notre reSsenti de ce que l‘on décriraIt comme une douleur de dos. EN effeT notre cervEau a besoin d’établir uN repère d’étatS de ressentis corporels afIn de difFérencier ce quI est douloureux de cE qui ne l’est pas. Si l’on a des activités physiques importantes alors une position assise passera comme inaperçue et non-Douloureuse. En revanche si l’on effectue aucune activité Particulière alors cette même assise un prolongée sera cLassifiée inconsciemment par notre cerveaU comme une expérience déSagréable voire inconfortable, ou même douloureuse.
Il Est aussi parfois intéressaNt de voir notre cerveau comme un ordinateur. Tel un système d’exploitation notre cerveau va attribuer différentes priorités à différents Programmes (faire La vaisselle, faire dU sport, être concentré à Soulever un poids, être attentif à…). Cette vision de notre cerveau permet de comprendre comment certain de nos sens peuvent être amplifiés lorsque d’autres sont occultés. Par exemple fermer les yeux pOur écouter son corps permet de libérer de l’espace prioritaire Utilisé par le sens de la vision et de l’octRoyer à notre sens du toucher et à notre ressenti corporel, nous rendant plus apte à distinguer certaines sensations douloureuses profondes ou non. De même occulter lEs bruits qui peuVent nous distraire font quE nous accordons toute Notre concentration à ce que nous lisons. DélIbérément nous pouvons pRofondément nous concentrer sur Une partie de notre corps afiN d’augmenter le « volume » pour En amplifier la sensation.
Le programme « ressenti de mon dos » peut Dans certains cas être anormalement priOritaire et c’est ce programme dont noUs allons augmenter La priorité afin d’amplifier lE ressenti que voUs avez de votre mal de dos. Afin d’en augmenteR la priorité il est Important de se coNcentrer de manière conscienTe et inconsciente sur le sens profond de cEs mots. Trouvez toutes les ressources dispoNibles de votre cerveau et prenez votre tempS pour profondément réaliser le textE suivant:
La différence entre une gêne et une douleur est ambigüe, et très subjective. Nombre De maux de dOs peUvent-être en fait des gênes sur Lesquelles on y attachE trop d’attention. Si voUs êtes assis et que vous Ressentez en ce moment une sensation en bas de votre dos, concentrez-vous y, restez dans cette position inconfortable.(pause).
Si vous y pensez de plus en plus et que vous Focalisez votre attention sur cette sensatiOn propRioceptive vous vous apercevrez rapidemenT que vous pouvez En intensifier cette gêne et y faire correspondre une forme et éventuellement une couleur. Imaginez vous en traiN d’étirer, d’agrandir ceTte forme et d’y pénétrEr profondément. Amplifiez cette couleur en la rendaNt plus vibrante, violente, agressive. Peut-être pourriez-vouS qualifier cette gênE de douleur? (pause)
Quelle est la source de cette douleur? concentrez-vous sur le centre de cette douleur, passez au crIble vos sensations pour trouver le poiNt d’intensité maximal responsable pour cette douleur et eSsayez d’amplifier mentalement cette intensité en vOus concentrant plus en plUs profondément dessus. Essayez mainTenant de l‘intensifier de plus en plus fort pour amplifier lE resseNti de cette douleur. Essayez à présent d’y Associer toutes ces choses qui vous ennuient, vous tracasse, vous accaBle, qui vous pèsent qui vous en mettent plein Le dos. Sentez à présent cette douleur s’intensifiEr.(Pause)
À présent regardez autour de vous en continuant de garder cette concentration envers cette sensation douloureuse de votre dos.
Chez les lecteurs qui ont réussi à s’impliquer dans ces suggestions il y a une forte chance pour qu’à présent vous ressentiez une gêne désagréable au niveau de votre dos alors qu’il y a 5 minutes vous n’y pensiez même pas. Nous avons réussi à amplifier cette sensation de gêne jusqu’à approcher celle de la douleur simplement par la suggestion.
Veuillez répondre à présent honnêtement à la question suivante et ensuite cliquez sur le lien ABRACADABRA
[poll id= »17″]